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Title:AKOA_DOXED_BY_K4RN4GE_TSUYA
Created:Apr 1st, 2020
Created by: K4RN4GE
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Edited at: Apr 13th, 2020
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Il publie ses poèmes d’abord dans des journaux, ce qui le rend célèbre, puis des recueils : Ny Hirako (1940 à Fianarantsoa) Izy mirahavavy (les deux sœurs) (1946) Hira va ? (1948 Solemita (1949) Rakimalala (précieux trésor) (1955) Iarivo (1956) Voninkazon’ny tanteraka (1956) Ny fitiavany (1957) Izy mirahalahy (les deux frères) (1958) Fahatsiarovan-tena (la conscience d’être soi-même) (1958) Malgré cette abondance, de nombreux poèmes restent à ces jours inédits, car il improvisait et donnait ses poèmes à des inconnus rencontrés dans les ruelles d'Antanarivo. Plusieurs sont mis en musique, « Ny hirako » par Ramaroson William, par le groupe « Sorajavona », animé par ses enfants. Son seul recueil de poèmes écrit en français, Chants capricorniens, date de 1971, mais ne fut édité qu’en 1991, puis de nouveau en 1995. Il publie aussi des récits publics : Solemita (1949) Apokalipsy (1957) Esterax (1958) des pièces romancées tirées de l’histoire malgache : Aminata, Batsola (1958)1 Mavo handray fanjakana (Mavo à la veille de son règne(1958) Ombalahy savika ombalahy (courses de taureaux royaux) (1958). Il a une œuvre importante de traducteur, faisant du Cid de Corneille, Andromaque de Racine, des poèmes de Ronsard et de Victor Hugo, de l’anglais Roméo et Juliette de Shakespeare et pleure, ô pays bien-aimé du Sud-africain Alan paton, Patriote, Il est blessé en 1947, s’engage dans le Mouvement démocratique de la rénovation malgache, M.D.R.M. en 1972, date à laquelle il décrit les luttes populaires dans des poèmes. Il fait partie de l’équipe fondatrice de l’union des poètes et écrivains malgaches (U.P.E.M.) en 1952, crée l’association « tsiry » avec Andriamalala, Rado et Radja Razanamihoatra afin d’aider les jeunes auteurs, puis entre à l’Académie malgache en 1975.Il publie ses poèmes d’abord dans des journaux, ce qui le rend célèbre, puis des recueils : Ny Hirako (1940 à Fianarantsoa) Izy mirahavavy (les deux sœurs) (1946) Hira va ? (1948 Solemita (1949) Rakimalala (précieux trésor) (1955) Iarivo (1956) Voninkazon’ny tanteraka (1956) Ny fitiavany (1957) Izy mirahalahy (les deux frères) (1958) Fahatsiarovan-tena (la conscience d’être soi-même) (1958) Malgré cette abondance, de nombreux poèmes restent à ces jours inédits, car il improvisait et donnait ses poèmes à des inconnus rencontrés dans les ruelles d'Antanarivo. Plusieurs sont mis en musique, « Ny hirako » par Ramaroson William, par le groupe « Sorajavona », animé par ses enfants. Son seul recueil de poèmes écrit en français, Chants capricorniens, date de 1971, mais ne fut édité qu’en 1991, puis de nouveau en 1995. Il publie aussi des récits publics : Solemita (1949) Apokalipsy (1957) Esterax (1958) des pièces romancées tirées de l’histoire malgache : Aminata, Batsola (1958)1 Mavo handray fanjakana (Mavo à la veille de son règne(1958) Ombalahy savika ombalahy (courses de taureaux royaux) (1958). Il a une œuvre importante de traducteur, faisant du Cid de Corneille, Andromaque de Racine, des poèmes de Ronsard et de Victor Hugo, de l’anglais Roméo et Juliette de Shakespeare et pleure, ô pays bien-aimé du Sud-africain Alan paton, Patriote, Il est blessé en 1947, s’engage dans le Mouvement démocratique de la rénovation malgache, M.D.R.M. en 1972, date à laquelle il décrit les luttes populaires dans des poèmes. Il fait partie de l’équipe fondatrice de l’union des poètes et écrivains malgaches (U.P.E.M.) en 1952, crée l’association « tsiry » avec Andriamalala, Rado et Radja Razanamihoatra afin d’aider les jeunes auteurs, puis entre à l’Académie malgache en 1975.Il publie ses poèmes d’abord dans des journaux, ce qui le rend célèbre, puis des recueils : Ny Hirako (1940 à Fianarantsoa) Izy mirahavavy (les deux sœurs) (1946) Hira va ? (1948 Solemita (1949) Rakimalala (précieux trésor) (1955) Iarivo (1956) Voninkazon’ny tanteraka (1956) Ny fitiavany (1957) Izy mirahalahy (les deux frères) (1958) Fahatsiarovan-tena (la conscience d’être soi-même) (1958) Malgré cette abondance, de nombreux poèmes restent à ces jours inédits, car il improvisait et donnait ses poèmes à des inconnus rencontrés dans les ruelles d'Antanarivo. Plusieurs sont mis en musique, « Ny hirako » par Ramaroson William, par le groupe « Sorajavona », animé par ses enfants. Son seul recueil de poèmes écrit en français, Chants capricorniens, date de 1971, mais ne fut édité qu’en 1991, puis de nouveau en 1995. Il publie aussi des récits publics : Solemita (1949) Apokalipsy (1957) Esterax (1958) des pièces romancées tirées de l’histoire malgache : Aminata, Batsola (1958)1 Mavo handray fanjakana (Mavo à la veille de son règne(1958) Ombalahy savika ombalahy (courses de taureaux royaux) (1958). Il a une œuvre importante de traducteur, faisant du Cid de Corneille, Andromaque de Racine, des poèmes de Ronsard et de Victor Hugo, de l’anglais Roméo et Juliette de Shakespeare et pleure, ô pays bien-aimé du Sud-africain Alan paton, Patriote, Il est blessé en 1947, s’engage dans le Mouvement démocratique de la rénovation malgache, M.D.R.M. en 1972, date à laquelle il décrit les luttes populaires dans des poèmes. Il fait partie de l’équipe fondatrice de l’union des poètes et écrivains malgaches (U.P.E.M.) en 1952, crée l’association « tsiry » avec Andriamalala, Rado et Radja Razanamihoatra afin d’aider les jeunes auteurs, puis entre à l’Académie malgache en 1975.Il publie ses poèmes d’abord dans des journaux, ce qui le rend célèbre, puis des recueils : Ny Hirako (1940 à Fianarantsoa) Izy mirahavavy (les deux sœurs) (1946) Hira va ? (1948 Solemita (1949) Rakimalala (précieux trésor) (1955) Iarivo (1956) Voninkazon’ny tanteraka (1956) Ny fitiavany (1957) Izy mirahalahy (les deux frères) (1958) Fahatsiarovan-tena (la conscience d’être soi-même) (1958) Malgré cette abondance, de nombreux poèmes restent à ces jours inédits, car il improvisait et donnait ses poèmes à des inconnus rencontrés dans les ruelles d'Antanarivo. Plusieurs sont mis en musique, « Ny hirako » par Ramaroson William, par le groupe « Sorajavona », animé par ses enfants. Son seul recueil de poèmes écrit en français, Chants capricorniens, date de 1971, mais ne fut édité qu’en 1991, puis de nouveau en 1995. Il publie aussi des récits publics : Solemita (1949) Apokalipsy (1957) Esterax (1958) des pièces romancées tirées de l’histoire malgache : Aminata, Batsola (1958)1 Mavo handray fanjakana (Mavo à la veille de son règne(1958) Ombalahy savika ombalahy (courses de taureaux royaux) (1958). Il a une œuvre importante de traducteur, faisant du Cid de Corneille, Andromaque de Racine, des poèmes de Ronsard et de Victor Hugo, de l’anglais Roméo et Juliette de Shakespeare et pleure, ô pays bien-aimé du Sud-africain Alan paton, Patriote, Il est blessé en 1947, s’engage dans le Mouvement démocratique de la rénovation malgache, M.D.R.M. en 1972, date à laquelle il décrit les luttes populaires dans des poèmes. Il fait partie de l’équipe fondatrice de l’union des poètes et écrivains malgaches (U.P.E.M.) en 1952, crée l’association « tsiry » avec Andriamalala, Rado et Radja Razanamihoatra afin d’aider les jeunes auteurs, puis entre à l’Académie malgache en 1975.